lundi 31 août 2009

samedi 22 août 2009

Yesse I am bilingoual

bilingue

(au passage, on pourrait croire que le patron est un peu caricatural mais en fait, il l'est à peine. Quand on vous dit "que Monsieur Untel n'est pas disponible/absent actuellement", il y a 75% de chances qu'en fait, il n'ait juste pas envie de vous parler. Moi avant, je pensais vraiment que Monsieur Untel n'était pas disponible. Douce naïveté.)

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En parlant d'anglais, en ce moment, je regarde beaucoup de séries dans la langue de Shakespeare. Le genre de séries que je n'ai pas eu le temps de regarder dans les années 2000 à 2006, genre
Six Feet Under ou The Shield. Quelque chose me frappe à chaque fois dans la langue anglaise : sa concision permet des dialogues très incisifs, d'exprimer des concepts forts en peu de mots (comme "Lose the ego!" Comment on pourrait traduire ça correctement en français? Camille?^^).
C'est souvent difficile de retrouver la même saveur, ou le sens exact, en français. On le voit quand on lit une traduction : une description toute simple ou un dialogue peut vite devenir une phrase à rallonge, qui parfois perd tout son sens originel. Est-ce que c'est juste une question de talent de traducteur ou est-ce qu'il y a réellement une différence dans l'expression?

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Pour citer certains de mes dialogues préférés, dans Six Feet Under, il y a :

"Dont' be so left-brained"

"Sure! Let's just invalidate my entire life!"

"You're telling me you just lost 25000 dollars that's just gone??"
"I suppose it still exists. It's just not mine anymore."

En français, j'ai longtemps eu l'impression que dans l'écriture, un ton aussi fluide était plus difficile à obtenir. Et que donc on n'arrivait pas à avoir des dialogues aussi efficaces et percutants.
Mais en fait, ce n'est pas vrai: la langue n'empêche pas d'écrire des dialogues très percutants. On les écrit juste d'une autre manière.J'avoue que c'est surtout quand des films plus anciens que j'ai retrouvé les plus beaux dialogues.

Mais aujourd'hui encore, grâce à certaines séries comme Fais Pas Ci, Fais Pas Ca, on a encore de belles perles:

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"Mon mari fait une burnoute" (en fait, c'est un burnout)
"C'est une maladie des testicules?"
"Non, c'est une énorme dépression"

Une petite fille, consolant son père en dépression (c'est lui qui fait la burnoute):
"Tu sais, j'te comprends papa. Moi aussi j'ai des gros coups de cafard.C'est parce que je suis trop sensible. J'ai toujours peur de faire de la peine aux gens, ou aux choses. Par exemple, le matin, quand je dois m'habiller et que je dois choisir une culotte, j'ai toujours peur de faire de la peine aux autres."
"Comment tu fais alors?"
"J'en prends une et je promets à l'autre que je la mettrai le lendemain"

"Si t'avais pas de pieds, tu mettrais des chaussettes?"
"Non"
"Alors pourquoi tu mets des soutifs?"

"Qu'est-ce qui sent le pipi et qui fait vingt mètres de long? Une farandole de vieux dans une maison de retraite"

(bon j'avoue que les deux dernières sont des blagues, pas forcément inédites... mais c'est tellement débile!)

samedi 15 août 2009

Copy That !

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Si toi aussi tu as eu la joie de faire du standard, ou simplement de faire des réservations par téléphone, tu as dû remarquer à quel point la compréhension orale téléphonique est parfois difficile... et que parfois, même le nom de famille le plus simple devient compliqué à saisir!

Et encore, on n'a pas encore parlé de l'anglais...

mercredi 12 août 2009

Job d'été

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De retour des Cévennes, un lieu pittoresque et... rocailleux. Une randonnée dans les sentiers bucoliques du mont Aigoual, tes articulations s'en souviennent encore deux semaines après la fin de tes vacances. Mais ça vaut le coup d'oeil...

Cévennes